Loi EGalim et restauration collective

Rappel des principales obligations en termes de gaspillage alimentaire et prévention de déchets.

Pour l’ensemble des opérateurs de la restauration collective  :

  • réalisation d’un diagnostic préalable à la démarche de lutte contre le gaspillage alimentaire incluant l’approvisionnement durable ;

Pour les restaurants collectifs publics :

  • proposer, d’ici 2022, 50 % en valeur et en prix de produits prenant en compte les externalités environnementales ou en agriculture biologique ou en transition vers l’agriculture biologique ou encore dotées de labels ou certifications… A noter que 20% des produits devront obligatoirement être en agriculture biologique/en transition vers l’agriculture biologique.

Pour les restaurants collectifs scolaires :

  • « à titre expérimental, au plus tard fin octobre 2019 et pour une durée de deux ans », les cantines scolaires peuvent proposer au moins une fois par semaine un menu végétarien.
  • Au 1er janvier 2020, les services de restauration collectifs ne seront plus autorisés à utiliser des bouteilles en plastique d’eau plate ; à moins qu’il y ait des restrictions d’eau sur le territoire ou une eau non potable
  • Dès le 1e janvier 2025 (2028 pour les communes de moins de 2 000 habitants), il est mis fin à l’utilisation de contenants alimentaires de cuisson, de réchauffe et de service en matière plastique

Pour les établissements de restauration commerciale et les débits de boissons à consommer sur place :

  • mise à la disposition, des clients qui en font la demande, de contenants réutilisables ou recyclables permettant d’emporter les aliments ou boissons non consommés sur place, à l’exception de ceux mis à disposition sous forme d’offre à volonté. » (ne s’applique pas à la consigne).

Pour les établissements de restauration commerciale et les entreprises qui distribuent des produits alimentaires dans le cadre d’une activité de vente à emporter :

  • utilisation de contenants réutilisables ou recyclables.
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