16 janvier 2023 – Délestages électriques : comment les communes se préparent-elles pour maîtriser les impacts ?
Vous pouvez (re)voir le débat du mercredi 4 janvier de Label France Résilience sur le thème « Délestages électriques : comment les communes se préparent-elles pour maîtriser les impacts ?« avec comme intervenants :
• M. Laurent Audé, Directeur de Projet Risques Majeurs et Sanitaires de la Ville de Niort (Deux-Sèvres) ;
• M. Gerard Baumel, Maire de la commune de Céreste et Vice-Président de la communauté de communes du Pays d’Apt (Vaucluse) ;
• M. Luc Douine, Expert risques auprès de plusieurs collectivités, Ancien chef de corps des sapeurs-pompiers et Coordinateur de la RCSC de la commune de Barraux (Isère) ;
• Mme Marika Roman, Adjointe au maire, déléguée à la Sécurité Civile, à la Prévention des Risques et aux Commissions de Sécurité de la Ville d’Antibes (Alpes-Maritimes) ;
• M. Stéphane Watellier, Ingénieur Prévention et Gestion des Risques au sein de la Direction de la Sécurité Civile et des Risques Majeurs de la Mairie de Toulouse (Haute-Garonne) ;
• M. Thomas Dubiez, Responsable Mission Sécurité Civile, Pôle des Sécurités et de la Tranquillité Publique de la Ville de Montpellier.
21 décembre 2022 – délai supplémentaire pour nous retourner la liste de vos PDL « sensibles » (cf. article du 16 décembre ci-dessous)
La date limite pour renseigner le fichier Excel, avec la liste de vos PDL « sensibles » dont vous souhaitez savoir s’ils sont délestables ou non est reportée au plus tard lundi 2 janvier.
Attention : à la demande du CIC-délestage (ce jour), il faut renseigner les adresses complètes des PDL et non pas uniquement la commune d’implantation.
15/12/2022 – réquisition des « gros » groupes électrogènes
Cette réquisition est prévue en application de l’article L321-17-2 du code de l’énergie (créé par la loi du 16 août 2022) qui prévoit que « Lors des périodes de forte tension sur le système électrique mentionnées au deuxième alinéa, les sites de consommation qui utilisent des installations de production ou de stockage d’électricité de plus d’un mégawatt en vue de leur fournir une alimentation de secours sont tenus de mettre à la disposition du gestionnaire du réseau public de transport la totalité de la puissance non utilisée et techniquement disponible de ces installations, par l’intermédiaire du mécanisme d’ajustement mentionné à l’article L.321-10. ».
Il n’y a donc pas de risque de réquisition des Groupes électrogène de moins de 1 MW et pour les plus gros, s’il y a réquisition, elle ne pourra se faire au détriment des besoins propres des installations secourues.
Mais bien évidemment, les sites qui disposent de Groupes électrogènes (fixes ou mobiles) de puissance inférieure seront invités à les utiliser en période « rouge » (a fortiori pour des questions de coûts si contrat d’effacement).